La Paresse Académique
Tom Coelho*
“Rien à faire, est le droit chemin pour n’être personne.”
(Nathiel Hower)
Elle a été lancée en 1964 et a eu sa première édition épuisée seulement en dix mois. Rapidement, elle est devenue tout simplement un objet du désir, mais un instrument singulier d’appui éducationnel. Dans les années 70 et jusqu’à la moitié des années 80, cela a été le meilleur cadeau que les parents ont pu offrir à leurs enfants, plusieurs fois acquis avec difficulté devant le paiement parcellisé. Je suis entrain de parler de l’Encyclopédie BARSA.
Je me rappelle de cette collection avec dix-sept livres avec les couvertures rouges et les lettres dorées qui m’aidait dans les tâches d’école et m’ouvrait les portes à un monde surprenant en attendant d’être découvert. L’atlas géographique m’a attiré la curiosité pour les pays, drapeaux, monnaies et les langues. Et les recherches aux divers articles ont stimulé le plaisir de la lecture et, par conséquence, pour l’écriture, une fois que les thèmes consultés devaient être relationnés dans un cahier où dans une activité académique à être délivrée
Avec l’avènement de l’internet, les encyclopédies ont été désamorciés. Aujourd’hui, un étudiant n’a plus besoin de feuilleter des pages à la recherche d’une information. Il suffit d’accéder un site de recherche pour localiser le thème de son intérêt, plusieurs fois avec un million de “link” relevants. Après, copier et coller le texte, l’imprimait et terminant la mission.
Dans ce processus, il y’a plusieurs pertes. Le plaisir de la lecture se dissipe. Des journaux, revues et des livres sont proportionnellement des cycles moins utilisés. Et l’habitude de l’écriture aussi se vide. Le papier et le stylo sont substitués par des processus de texte. L’émotion et la personnalité présente dans la caligraphie donnent place à la froideur des bits et bytes.
Mais la facilité de l’accès à l’information a aussi apporté avec soi un effet colatéral: les jeunes sont devenues plus indolents et apathiques. Presque journellement, je reçois des messages des universitaires sollicitant des articles, essais, graphiques où n’importe quel type de matériel qui peut les aider à un travail académique où dans l’élaboration de sa monographie. Il y’a des occasions où ces demandes arrivent d’une maniére tranquille et consciente, en laissant bien clair que ma contribution éventuelle sera accessoire, complémentaire à l’activité qui est en dévéloppement.
Pourtant, il y’a des circonstances dans lesquelles les demandes qui me visitent vont jusqu’à la définition d’un mot qui peut être retrouvé dans les dictionnaires, (ceux-ci aussi sont désamorcés), jusqu’à la simple transcription dans l’intégration d’une tâche proposée, incluant la date de livraison et les règles pour la présentation. Ainsi, l’étudiant dirige ses questions comme elles ont été formulées, en attendant les réponses prêtes qui peuvent faire valoir le travail de recherche, lire, compiler, enfin, étudier.
Cette véritable fièvre touche aussi les communautés appelées virtuelles. Celui qui participe des groupes où des forums thématiques de discussion , savent ce que je dis. Et dans ce cas, la conduite s’étend aussi aux professionnels à la recherche des plannings, testes d’évaluation, dynamiques de groupe, entre autres.
Information et connaissance doivent être partagées. Pour cela, je ne laisse jamais sans réponse un lecteur, n’importe laquelle soit sa demande. Mais je vois avec préoccupation ce commodisme, parfois traverstis d’opportunisme, parce que cela me fait penser à Confucius qui disait: “La parêsse marche si doucement que la pauvreté facilement l’atteint.
17/11/2006
* Tom Coelho!, avec formation en Économie par la FEA/USP, Publicité par la ESPM/SP, spécialisation en Marketing par la Madia Marketing School et la Qualité de Vie dans le Travail par la USP, est consultant, professeur universitaire, écrivain et conférencier. Directeur de l’Infinity Consulting et Directeur de l’État de NJE/Ciesp. Contacts par courriel: tomcoelho@tomcoelho.com.br.
Compare preços de Dicionários Jurídicos, Manuais de Direito e Livros de Direito.