Chômage Zéro
Tom Coelho*
Le chômage de l’homme doit être traité comme tragédie
et non pas comme une statistique économique.”
(Pape João Paulo II)
Au commencement des années quatre-vingt-dix, j’ai experimenté la saveure amère du chômage. Par option, je laissais le poste de gérance d’une filiale d’une entreprise exportatrice de café cru en grain pendant une période de 10 mois: un travail qui a atteint la position 45 au ranking des meilleures exportatrices brésiliennes en dedans de son secteur pour la vingt-et-unième application/installation. .
C’était la fin d’un cycle. Il n’y avait plus de place pour la croissance en dedans de cette structure. Cela a été quand j’ai saisi l’expression: “battre avec la tête au mur”.
Prise la décision, j’ai fait face à la fragilité du marché du travail. Les expectatives d’une rapide nouvelle installation ont été élèvées.
Enfin, j’étais jeune, impetueux, déterminé et je mettais dans mes bagages une série de réalisations concrêtes.
Le monde réel, en attendant, m’a enseigné d’autres vérités. L’âge tendre n’était pas un aspect positif, mais une fragilité, puis les jeunes de vingt et un ans ne peuvent pas avoir l’experience exigée pour des postes de supervision et gérance – ainsi comme avec les vieux de quatre-cinq ans symbolisant l’archaisme et le retrocessus.
Aussi, j’ai découvert l’existence de quelques règles pour entrer dans le jeu. La formation académique solide était le première. Ceci signifiait apart la renommée d’une faculté, mais aussi quelque chose évident: le cours supérieur conclut. Et j’ai abandonné mes études pour assumer le poste qui m’a été offert, puis cela serait exerçé dans un autre état de la fédération.
Aussi, j’ai appris la relevance de dominer un langage-patrie, dans la langue parlée et écrite et la fluance en anglais d’un autre candidat, ce qui serait toujours les années-lumière en avant écrivant exception avec deux où quatre “s” ou prononçant “problème” (sic) à chaque deux phrases.
Au milieu de tant d’autres découvertes sur comment fonctionner le “système”, j’ai observé sept longs mois devant mes yeux. Au long de cette période, j’ai repris mes études, fait un tas de cours pratiques complementaires, réduit ma prétention de salaire. Mais à la fin de cette période, comme je n’ai reçu aucune réponse concrète de travail, mes reserves financières maigres et mon estime em baisse. basse.
Entrepreneur de nécessité
En dedans de ce contexte, parti par la “carrière-terre”. Il était nécessaire de faire quelque chose avec un peu d’amour propre qui me restait encore. Il fallait que je me mette à l’épreuve . C’est ainsi que j’ai conquis l’entreprenât comme option de vie. Mais plus que une nécessité a été ma table da sauvetage.
Une décade se passait depuis. Et le marché du travail continuait plus proche de la réalité que j’experimentai. Les restrictions tant que l’ âge persistait. La formation academique demande de nos jours, apart le cours superieur complet, n’importe quelle poste-graduation. L’espagnol doit accompagner l’anglais et le portugais reste en second plan.
Le chômage est un évenement médiocre. Tant qu’il se prolonge, plus il affecte negativement le professionalisme. Quand cela atteint un père où un parent de famille, assume une connotation sadique et pernicieuse. Seulement celui qui a veçu cette situation peut comprendre le regard opaque et les ombres arqués de celui qui n’a pas la possibilité de dire au monde ce qu’il a vu.
C’est pour cela, je voudrais vous inviter à une randonnée pour le chômage zero. Cela se refere que chacun de nous signe un compromis personnel pour chercher et rester dignement employés, soit dans une entreprise privée ou comme autonome. Il est urgent que vous puissiez découvrir surtout quelle est votre vocation et la suivre.
Ceci se refère aussi aux employés-en-chômage, une catégorie de personnes qui vendent bon marché leurs rèves, exerçant des activités qui ne correspondent pas à ce que le coeur désire, vacant de par le monde comme des âmes errantes.
J’espère voir ces personnes graciées par la conscience pour réveiller en elles qui elles sont et leur courage, pour faire ce qu’elles veulent, stimulées par l’audace afin d’entreprendre cette opportunité et sensibilisées par l’émotion, pour lever le principe en avant, offrant toujours autant que possible un nouveau poste de travail, industrialisant l’espoir.
29/11/2003
* Tom Coelho!, avec formation en Économie par la FEA/USP, Publicité par la ESPM/SP, spécialisation en Marketing par la Madia Marketing School et la Qualité de Vie dans le Travail par la USP, est consultant, professeur universitaire, écrivain et conférencier. Directeur de l’Infinity Consulting et Directeur de l’État de NJE/Ciesp. Contacts par courriel: tomcoelho@tomcoelho.com.br.
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