Francês/Français

Marketing de Perception

Marketing de Perception

 

Tom Coelho*

 

 

“Paraître avoir de la compétence est si important,

quant à la propre compétence.”

(Chuck Lieppe)

 

En premier lieu, Enron, le géant du secteur énergétique, est la septième plus grande entreprise des États-Unis, en Facturation, entraînant avec soi, Arthur Andersen, une des “Cinq Plus Grandes” en Consultation et en Audit dans le monde. Après est venu la Worldcom, la seconde plus grande Opératrice en Téléphone, à distance dans le pays de l’Oncle Sam, actioniste avec 25% de participation dans l’Embratel verte-jaune. Alors, nous assistons à la insolvabilité d’une multinational, avec plus de 36 mil fonctionnaires dans trente pays, reconnue par la qualité de son lait, jus, bisquits, sauces et dérivatifs. L’Éléphant a laissé d’être fa de Parmalat. Et, plus récemment, l’intervention à la Banque Santos, dont les numéros, bien évalués par les agênces “indépendantes” de classification de risque.

 

Les balances comptables maquiées n’était pas à la mode. A toujours été. Les entreprises fraudent, des éxécutifs mentent, des auditeurs mentent, des analystes recommandent. Comme disait le bon vieur proverbe populaire, Le rôle accepte tout.

 

Le Monde de Narcisse

 

Nous vivons dans un monde gouverné par la dictature de l’image. Le triomphe de l’estéthique sur la moral. Ils ne sont pas simplement des entreprises-chateaux en des matrices somptueuses, dotées de marques, logos et slogans, captivantes, avec ces companies publicitaires, millionaires, ses démonstratifs reluisantes et blueus, ses stratégies commerciales d’expansion et ses politiques d’incentif qui se convertisent par decret, “ressources humaines” jusque le rideau de fumée soit déridé, qui bénéficie la société.

 

Le monde de Narcisse affecte les personnes comme les corporations. Vous êtes si beau quant aux costumes et votre dernière coupe de cheveu peut sinaliser. Si bien quant à la procédence des diplomes et la fluance des langues peuvent indiquer. Si valorisé quant à la compétence ratifiée et les résultats présentés peuvent paraître.

 

Dans les temps passés, l’occasion lorsque mes yeux n’ont pas pu percevoir, “l’emballage, qui était moins représentatif. Les entreprises étaient ce qu’elles produisaient. Les personnes étaient ce qu’elles démontraient. Le mot valait autant qu’il fallait se limiter au “fil de la moustache”. C’était plus d’essence. Et plus d’essences.

 

Les temps modernes nous ont apportés de la vélocité de la communication, l’excès d’information, l’importance des contrats. Des avenues/rues plus larges, des autos plus rapides par le prix des immeubles, en transit plus congestionnés et confus. Des conducteurs parfumés avec des fragrances qui coûtent l’équivalent de trois salaires minimums, s’habillant de costumes d’une valeur similaire à un an de travail ardu d’un travailleur bracial.

 

Il y’avait une époque dans laquelle les prix étaient formés pour rémunérer les coûts et proportionner une marge de profit. Il y’avait plus d’offres que des demandes. L’équation s’est invertie et le prix a passé à être ministré par cette entité dénommée Consommateur. Aujourd’hui, les prix sont des données des petits morceaux de tissu appellés étiquette, des marques inscrites dans les étuis des lunettes, des griffes tamponnées dans le viseur et dans le bracelet des montres.

 

Le Monde Imaginaire

 

Par extension, nos relations personnelles se miroitent dans un monde de la Média qui nous entourent. Comme nous enseigne un proverbe russe, “Nous n’aimons pas les personnes parce qu’elles sont belles, mais parce qu’elle nous semblent belles, parce que nous les aimons”. Le secret de la conquête, est singulier de contempler la fantaisie.

 

Le poéte français André Breton, disait, “Ce que les gens cachent est plus-au-moins ce que les autres découvrent”. Bien adéquat pour celui qui a écrit le Suréeliste Manifeste.

 

Des balances fraudées, des curriculum forgés, des amours burlesques. Des vies véçues dans l’illusion, imaginées comme des rêves de lumière d’une illusion.

 

L’imaginaire était un monstre mitologique avec la tête d’un lion, le corps d’une vache et la queue d’un dragon. Image pas agréable, image que, tôt où tard, se matérialise , en tombant du voîle de la perception, qui n’emporte pas avec soi un contenu de sincerité et passion.

 

10/01/2004

 

* Tom Coelho!, avec formation en Économie par la FEA/USP, Publicité par la ESPM/SP, spécialisation en Marketing par la Madia Marketing School et la Qualité de Vie dans le Travail par la USP, est consultant, professeur universitaire, écrivain et conférencier. Directeur de l’Infinity Consulting et Directeur de l’État de NJE/Ciesp. Contacts par courriel: tomcoelho@tomcoelho.com.br.

 

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Como citar e referenciar este artigo:
COELHO, Tom. Marketing de Perception. Florianópolis: Portal Jurídico Investidura, 2008. Disponível em: https://investidura.com.br/internacional/francesfrancais/marketing-de-perception/ Acesso em: 20 abr. 2024